Article écrit par Pierre
5 Sep 2023 @ 9:00am
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Zut alors, on charge un sacré paquet d’impôts en France, c’est du sérieux! Mais, croyez-le ou non, l’addition pourrait être encore plus salée. Regardez du côté du nord, un pays scandinave fait danser la salsa fiscale à un rythme encore plus effréné, couronné tête de liste dans le concours des taux d’imposition les plus costauds d’Europe.

Même si vous soupirez chaque fois à l’approche des paperasses fiscales, en pensant qu’on est vraiment dans une mauvaise passe avec des impôts au sommet en France, ne croyez pas que vous rêvez. Cependant, un léger détour par nos chers voisins pourrait piquer votre curiosité et vous faire réaliser que, mesdames et messieurs, nous ne sommes pas les champions en la matière. D’un autre côté, nul besoin de se lamenter. Après tout, on doit veiller à l’intérêt des impôts que nous déboursons, n’est-ce pas ? C’est ces trucs compensatoires qui permettent à l’État de financer les dépenses publiques. Chaque pays rame à son rythme, hissant ses impôts sur l’échiquier financier en fonction des exigences intérieures. Alors, ouvrez grand vos yeux, voici la course des 10 pays les plus taxés d’Europe. Attachez vos ceintures, ça virevolte!

 

10. L’enchantante Autriche: une symphonie fiscale

Embarquons ensemble pour un voyage au cœur de la terre de Mozart, cette mélodieuse contrée qu’est l’Autriche. Captivant ses citoyens par l’invraisemblable ballet de la langue allemande, ce pays nous dévoile un système fiscal progressif, qui, tel un puissant chef d’orchestre, fait monter le crescendo jusqu’à un taux étourdissant de 55 % sur les revenus personnels. Oui, vous avez bien lu, la mélodie fiscale autrichienne atteint des notes effroyablement hautes!

D’un autre côté, si l’on parle des corps de ballet des corporations, ils trouvent refuge dans une danse fiscale d’un rythme plus doux, facturée à une fréquence modérément légère de 25%. Un soulagement relatif, mais en aucun cas un pas de deux!

Cependant, que personne ne soit trompé par ces notes plus basses. L’opéra fiscal autrichien ne fait aucun cadeau ; la pression fiscale totale, la vedette de la soirée, s’écarte des lumières de la scène pour révéler son acte final à 42,1 % du PIB. Ce dernier acte, fort en émotion, chante la détermination de l’Autriche à équilibrer la répartition des charges, dans une symphonie rappelant leur ardent désir de promouvoir un développement socio-économique gracieux et harmonieux.

9. L’alléchant défi fiscal de la botte italienne

Si vous pensiez que les régimes fiscaux étaient un labyrinthe, eh bien, l’Italie est un véritable dédale! En fait, c’est si tordu et compliqué que ce pays mérite la palme d’or des fiscalités les plus ardues à naviguer au monde.

Imaginez-vous au sommet d’un époustouflant paysage de montagnes; les entreprises voient le panorama fiscal évoluer en fonction de leur secteur d’activité et de leur tranche. Pour les particuliers, eh bien, c’est un autre film d’horreur au scénario épique tout aussi tortueux.

Le prélèvement des taxes chante sa chanson à hauteur de 42,8 % du PIB. Et ce n’est pas tout. Un impôt extra-spécial attend patiemment les chanceux qui possèdent un patrimoine net de plus de 10 millions d’euros, venant s’inviter à la fête des prélèvements auxquels tout un chacun est soumis.

Cette taxe spécifique ne frappe qu’à la porte des résidents, comme un invité surprise à votre dîner. En somme, si vous avez un penchant pour le risque et une passion pour les puzzles, la fiscalité italienne serait un sport extrême à essayer !

8. Suède : Un tour vers le Nord

Embarquons pour un petit périple dans le froid glacial scandinave, au cœur même de la Suède, ce géant nordique à la grande renommée fiscale! Détrompez-vous, ce n’est pas la finesse de son Ikea liée à l’ameublement abordable qui lui a forgé cette notoriété, que nenni ! On parle ici d’une fiscalité qui, aussi surprenant que cela puisse paraitre, est une des plus considérables en Europe.

Préparez-vous à être ébahis ! Car lorsque vous apprendrez que la Suède prélève jusqu’à 31,86 % sur notre vieux bon gros revenu durement gagné, vous n’en croirez pas vos oreilles. Et ce n’est pas tout ! Le taux de TVA standard aussi ne fait pas les choses à moitié; il fait un saut jusqu’à 25 % ! Vous imaginez déjà le casse-tête que cela signifie pour les entreprises ? Justement, pour ces dernières, le gâteau d’impôts se chiffre à un généreux morceau de 20,6 %.

Et pour couronner le tout, ce drakkar fiscal avance à une pression constante de 44,12 % ! Vous ne rêvez pas, c’est la réalité, aussi glaciale et sculptée dans le givre que les paysages de ce paysage nordique !

Certes, ce barème pourrait faire frémir plus d’un, faire trembler plus d’un portefeuille, mais ne croyez pas pour autant que la Suède soit un vilain ogre fiscal ! On vous l’a dit, la Suède, ce géant nordique n’est pas qu’un Viking fiscal, c’est aussi un paradis de bien-être social… et ça, c’est une autre histoire à découvrir !

7. Un voyage dans l’irrésistible charmante Serbie

Allons-nous oser quitter la pittoresque Slovénie et mettre le cap vers l’enchanteresse Serbie? Eh bien, faisons-le, et là, une surprise nous attend en matière de fiscalité. Dans cette terra incognita des Balkans où le tamburaši rencontre le kolo, le taux de pression fiscale atteint un chiffre entêtant de 38,4%. Une petite chanson qui rappelle étrangement celle jouée par nos voisins slovènes, n’est-ce pas? Quelle synchronicité!

Et que dire du tango des taxes indirectes? Par ici, la TVA danse au rythme de 20%. Pas de quoi faire tomber en syncope, n’est-ce pas?

Mais attendez une minute! Voici un tour de twist qui attire l’attention. Approchez et admirez le taux d’imposition des sociétés, planté à un coquet 15%. C’est du velours par rapport aux abysses fiscaux de certains pays d’Europe de l’ouest, je vous le dis!

Alors, écoutez-moi bien! Un détour par la Serbie, c’est un régal pour les mirettes et une véritable masterclass en matière de politique fiscale. Et croyez-moi, c’est le genre de cours magistral dont on se souvient!

6. La féerique Finlande

Imaginez, dans l’antre du bonheur dessiné sur une carte du monde, nous avons la belle Finlande, intronisée avec fierté comme étant l’endroit le plus heureux sur terre. Imaginez-vous ça, n’est-ce pas incroyable? Préparez-vous, ça devient encore plus intéressant…le compteur fiscal là-bas, ça décolle à une incroyable pression fiscale de 44,2 % – ouais, tu as bien entendu – 44,2 %! Et en fonction de la taille de ta tirelire, le taux d’imposition peut atteindre, tiens-toi bien… 50%. Plutôt corsé, non? Ah, et n’oublie surtout pas que tout ça, c’est prélevé à la source – directement depuis ton compte en banque, mon vieux. Alors, pense aux sociétés qui, elles, ont un taux d’imposition de 20%. Ah, quel beau paradis fiscal! Peut-être est-ce là, le secret de leur bonheur ?

5. Dans le dédale fiscal de la Slovénie

Dans le paysage pittoresque de la Slovénie se cache un drôle de tableau fiscal – c’est un piège bien ficelé, à la fois doux et dur, tributaire de ce que vous y empochez. Tout d’abord, saisissez bien ceci : une TVA à hauteur de 22%. Ensuite, marotte du pouvoir fiscal, environ 37,7% du PIB sous forme de pression fiscale. Vous vous demandez ce qu’il en est à titre individuel ? Allons-y, creusons un peu.

D’abord, le règlement du jeu est assez simple pour ceux qui ont élu domicile ici; tout le fric que vous engrangez, peu importe d’où il provient, est frappé de taxes. Le jeu se joue à la roulette fiscale : les gains mirobolants de moins de 5 855 € sont plafonnés à un taux doux de 17%.

Mais oh là là, si vous faites tourner le compteur et que vous dépassez les 35 135 €, attendez-vous à un coup de massue fiscal à hauteur de 50%! Ne croyez pas que vous pouvez échapper aux griffes de l’impôt, même si vous habitez à l’autre bout du monde.

Prenez garde mes braves ! Ces règles ne s’appliquent pas aux expatriés. Vous avez décidé de vous installer en Slovénie ? Bienvenue au club ! Vous n’avez à payer que pour ce que vous gagnez à l’intérieur de ces frontières verdoyantes. Seules les activités menées dans le pays vous feront tirer le diable par la queue. La morale de l’histoire ? En Slovénie, le fiscaliste est roi !

4. Hongrie : Un tour d’horizon fiscal qu’il faut connaître !

Ready, set, go! Embarquons pour une aventure au cœur de l’Europe, la Hongrie, un pays dont la jungle fiscale se fait dense. Avec un impôt qui grimpe jusqu’à 39,4 % de son Produit Intérieur Brut, on pourrait croire que l’économie hongroise est sous pression, comme une bière prête à exploser.

Et ce n’est pas tout, la Hongrie a son petit truc en plus qui fait parler : un taux de TVA à vous donner des sueurs froides, culminant à 27 %, la plaçant tout en haut du podium européen. De quoi faire sauter au plafond plus d’un !

Mais attention, ne soyez pas trop hâtif à cataloguer la Hongrie comme étant un trou noir fiscal. Il y a une pépite d’or qui change la donne : pour les entreprises qui cherchent des opportunités de se positionner stratégiquement sur le marché européen, la Hongrie met le tapis rouge avec son taux d’imposition des sociétés fixé uniquement à 9%. Et ce n’est pas fini, même les charges patronales les plus lourdes ne dépassent pas les 22 %. Pas mal, hein ?

C’est ainsi que la Hongrie se pose en véritable hôte accueillant pour toutes les entreprises en quête d’un havre fiscal alléchant au cœur de l’Europe.

3. La petite Belgique, pas si douce…

Vous allez sûrement tomber des nues en découvrant la Belgique dans ce listing. Pourtant souvent érigée en saint paradis fiscal, la vérité cache un autre visage, parfois bien plus sévère que la douce France. Si l’on ouvre le volet des chiffres bruts et amers, on se heurte prestement à une pression fiscale massant les 44,13 %. Qu’y a-t-il au menu ? Rien de moins qu’un taux d’imposition grimpant jusqu’à 50% pour les revenus titillant les 36 300 euros. Et pour couronner le tout, la TVA joue les divas en se pavanant aux alentours de 24 %. Alors, vous reprendrez bien une petite frite ?

2. La belle France

Disons-le franchement : en matière de fiscalité, l’hexagone s’y connaît. Du coup, mes amis, c’est là-bas que vous trouverez les échelons fiscaux les plus élevés. Juste derrière la Belgique, la France s’empare, et je ne rigole pas, de la deuxième place du podium. On peut même dire qu’elle est la dauphine du haut fait d’armes fiscal! Ouais, elle fait grimper la barre haut!

Sur les bancs de l’école fiscale, elle a appris cinq leçons clés. Chacune représentant une tranche d’imposition, et croyez-moi sur parole, la dernière fait grimper le thermomètre jusqu’à 45 % sur les salaires annuels, ça pique!

Et ce n’est pas tout! La TVA, ne la cherchez pas trop loin, elle s’élève à un bon vieux 20 %. Mettez tout ça dans le mixer et vous obtenez une pression qui fait mal au porte-monnaie soit une douce mélodie de 45,3 % de votre revenu s’envolant vers les caisses publiques. Dure réalité, n’est-ce pas?

1. Au royaume du Danemark

Le Danemark, l’humble abri des Vikings anciens, porte dorénavant un fardeau inattendu – une mordante facture fiscale frôlant les 49,5% du Produit Intérieur Brut ! Voilà une statistique étonnante qui hisse ce petit royaume scandinave en tête du peloton, non seulement au niveau européen, mais carrément mondial. Eh oui, il est indéniable que la grippe fiscale s’est particulièrement acharnée sur le Danemark, avec des taux d’imposition balançant entre 41 et 60% sur les revenus individuels. Ça fait un peu l’effet d’une douche froide, non ? Cependant, avant que vous n’enfiliez votre chapeau de révolutionnaire, il est crucial de préciser que malgré ce fardeau fiscal, le Danemark se porte à merveille économiquement parlant. Autrement dit, malgré l’ouragan fiscal, ce royaume nordique affiche une résilience économique admirable, défiant les vents et tempêtes fiscaux avec un sourire assuré. Allez comprendre…

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