Oui, c’est vrai, on peut dire que nos poches sont légèrement arnaquées par le fisc ici en France. Quoi de neuf, pas grand chose ! Mais, gardez la tête haute, on n’est pas le pays le plus taxé en Europe. Non, non ! On a l’honneur d’être finement doublé par un pays du Grand Nord glacial.
Quand on dit que nous sommes généreusement taxés, on n’exagère pas vraiment, mais eh, y’a pire que nous. C’est un fait ! Jetez un oeil par-dessus la haie et vous verrez. Pourtant, avant de lancer des grondements de protestation, faisons une pause pour réfléchir sur l’objectif de ces impôts qui nous font grincer des dents. Ils sont le carburant qui alimente l’état, permettant le financement des services publics, vous savez, ces choses sur lesquelles nous aimons tous nous appuyer. Chaque pays, y ajoute du sel et du poivre selon son propre goût et sa nécessité. Alors, prêts pour un voyage ? Enfilez vos gants et votre écharpe, nous allons faire un voyage sibérien pour découvrir ces 10 voisinages européens où les impôts soufflent plus froid.
10. L’harmonieuse République d’Autriche
Direction la vallée des Valses, terre d’enchantement et berceau de Mozart, l’élégante Autriche. Plongeons-nous dans les méandres de son système fiscal sur l’air d’une scintillante mélodie allemande. Ici, le cadran du compteur fiscal s’enflamme, dévoilant une progression vertigineuse qui n’hésite pas à escalader les échelons jusqu’à atteindre le sommet ahurissant de 55% sur les revenus individuels.
Les corporations, elles, naviguent sur une mer un peu plus tranquille, se trouvant dans l’œil d’un cyclone fiscal plus doux, tournant uniquement à la vitesse raisonnable de 25%. Cependant, il existe un coup de tonnerre dans ce ciel majoritairement serein : la pression fiscale globale, reine incontestée, qui s’impose à 42,1 % du PIB.
Une réalité qui témoigne fièrement du principe autrichien selon lequel les charges doivent être partagées honnêtement, au service d’une concorde socio-économique.
Mais n’oublions pas, même en face de cette réalité, l’Autriche reste une nation qui danse gracieusement sur la rythmique d’un développement équilibré.
9. Bella Italia
Enfilez votre costume fiscaliste, on met le cap sur l’Italie. Sans doute l’une des meilleures dans le Monopoly de la fiscalité mais pas la plus simple à appréhender, loin de là. Avec une complexité de fiscalité qui pourrait faire rivaliser un Rubik’s Cube, l’Italie se distingue des autres nations. Ici, la taxe d’entreprise, elle n’a qu’une seule idée en tête: faire preuve de fantaisie en variant en fonction des secteurs d’activité et des tranches imposables.
Là où ça devient du Picasso, c’est quand on jette un œil du côté des particuliers. Alors, accrochez-vous, le tour de montagnes russes fiscales ne fait que commencer. Le taux d’imposition général est de 42,8 % du PIB. Mais attendez, ce n’est pas tout! Pour ceux qui ont la chance, ou disons plutôt le privilège, d’avoir un patrimoine net de plus de 10 millions d’euros, l’Italie a cuisiné une surprise toute spéciale, un impôt-surprise! En sus de la taxe standard, ils ont droit à un petit extra pour leur contribution à la cagnotte nationale. Mais, psst, petit secret entre nous, cette mignonne surprise n’est réservée qu’aux résidents. Parfait pour les visiteurs, ce n’est pas ?
8. Suède
Allons faire un petit tour du côté scandinave, où se trouve la Suède, une terre de vikings, de forêts denses et de fjords éblouissants, mais également, croyez-le ou non, une des séduisantes sirènes de l’Europe en matière de fiscalité. Attachez-vous, par ici on ne rigole pas avec les impôts et compte bien vous alléger de quelques couronnes suédoises. On vous prélève un véritable petit pactole – pas moins de 31.86% sur vos revenus. Alors autant vous dire qu’en Suède, le revenu, ça ne se prend pas à la légère.
Pour ce qui est du taux de TVA, installez-vous bien dans votre fauteuil et respirez profondément, il s’élève à 25%, une sacrée somme ! Si vous êtes entrepreneur et s’envisagez de faire des affaires sur ces terres nordiques, attendez-vous à être imposé à 20.6%. Ouch!
Et pour la cerise sur le gâteau, on vous annonce que la pression fiscale en Suède se monte à 44.12%. Voilà voilà, rien que ça!
Alors accrochez-vous, n’oubliez pas votre écharpe en cas de froid sibérien et préparez-vous à la danse des impôts suédois – ils ont le rythme dans la peau!
7. La Serbie, ce joyau à l’éclat tentateur
Et si on se laissait tenter par un petit détour fiscal par la Serbie en quittant la Slovénie? Vous serez peut-être surpris, mais on ne s’éloigne pas vraiment du marasme fiscal habituel. Le parfum des affaires fiscales est assez similaire dans cette sublime contrée des Balkans avec un taux de pression fiscale qui fait un petillant 38,4%. Dis donc, ça a un petit air de famille avec ce qu’offrent nos voisins slovènes, vous ne trouvez pas?
Quant à l’impôt indirect, c’est-à-dire notre petit chouchou, la TVA, elle se pavane à un taux de 20% dans le pays. Pas de quoi se pâmer d’étonnement, il faut dire.
Cependant, si vous fouinez un peu, un détail risque de vous sauter aux yeux dans cette arène fiscale serbe – le taux d’imposition des sociétés. Ce petit coquin se prélassant à 15%, c’est un cadeau royal comparé à ce qu’on sert dans certains pays de l’Europe de l’ouest, ne m’en voulez pas de le dire!
Du coup, se lécher les babines en Serbie, c’est comme déguster un cru exceptionnel tout en se gorgeant de leçons enrichissantes sur la politique fiscale du pays. Ai-je besoin de préciser que ce genre de délice reste ancré profondément dans nos mémoires?
6. Vive la Finlande!
Vous avez bien entendu, petit coup de projecteur sur le Finlande, cet incroyable éden souvent décrit comme le vénérable paradis de la bonne humeur. On papote souvent de son bonheur léger et aérien, mais saviez-vous que leur tension fiscale atteint non moins de 44,2 %? En effet, pour vivre sereins, les Finlandais participent fortement au bien commun! Balancez donc vos yeux sur vos fiches de paie : le taux d’imposition peut s’envoler jusqu’à 50 % selon vos revenus, le tout prélevé directo-presto à la source, sans chichis ni tracas. Et ne croyez pas que les sociétés échappent à ce doux voyage fiscal, elles se voient gratifier d’un solide taux d’imposition de 20 %. Y’a pas à dire, en Finlande, on ne fait pas dans la dentelle quand il s’agit de contribuer à la communauté!
5. Direction la Slovénie, petite pépite du sud de l’Europe
Dans le charmant pays de la Slovénie, en plein coeur de l’Europe, vous risquez d’être surpris. Et bien oui! Ils sont partis sur une autre dimension avec une TVA fixée à 22 %, sacré chiffre, n’est-ce pas? Alors, accrochez-vous bien, la pression fiscale, elle, s’élève fièrement à 37,7 % du PIB. Ça donne du poids dans le porte-monnaie!
Mais ce n’est pas tout ! Si vous décidez de poser vos valises pour de bon, sachez que toute velléité de profits sera épiée, et oui, chaque revenu sera taxé. Comment ? Si vos gains restent en dessous du seuil des 5 855 €, vous serez taxé à hauteur de 17 %. Alors que si vous décidez de jouer dans la cour des grands avec des revenus supérieurs à 35 135 €, préparez-vous à une ponction fiscale à hauteur de 50%. Ca, c’est du sérieux!
Cependant, un rayon de soleil pour nos amis les expatriés ! Ils seront imposés uniquement sur les activités qu’ils mènent dans le pays. Un petit coup de pouce qui ne se refuse pas, n’est-ce pas ?
4. Hongrie : Un tour d’horizon fiscal
Découvrons ensemble le tableau fiscal complexe de la Hongrie, ce joyau ancré en plein cœur de l’Europe. Son fardeau fiscal grimpe aux cimes à 39,4 % de son Produit Intérieur Brut, ce qui instaure une pression considérable sur son économie. Cependant, une curiosité saute aux yeux : cette patrie arbore un taux de TVA particulièrement stratosphérique, à 27 %, fièrement perché sur le trône du palmarès européen.
Alors, mettez une petite pause avant de cataloguer trop hâtivement ce pays comme un gouffre fiscal ! Un attrait alléchant vient titiller l’intérêt des entreprises : son taux d’imposition pour ces dernières est figé à 9 %. Quant aux charges patronales les plus salées, elles pointent à 22 %. Bref, la Hongrie revêt le costume de véritable hôtesse pour les entreprises en quête d’un positionnement stratégique sur l’échiquier européen.
3. Le Quartier Surprenant : La Belgique
Franchement, à première vue, on a de quoi se gratter la tête ; Pourquoi la Belgique, le prétendu “paradis fiscal” figure sur notre liste et pas ailleurs sur le web? Eh bien, après avoir joué un peu au détective, il semble que la réalité est un peu plus grillée que ce qu’on entend habituellement! Le pays, dans sa rugueuse splendeur, est souvent plus rigide que la France en matière de coûts fiscaux. En fait, on parle d’une pression fiscale assez lourde de 44,13 %, et d’un taux d’imposition de 50 % pour toute âme gagnant plus de 36 300 euros. Quant à la TVA, elle tourne autour de 24 %. Pas exactement notre vision d’un doux paradis fiscal, n’est-ce pas?
2. Vive la France!
Oh, la France! On reconnaît ce pays charmant entre mille. Et pour cause, il a ses petites spécificités, surtout quand on parle de……ding, ding, ding, vous l’avez deviné? Taxe-absolument-tout ce que vous pouvez : bienvenue au championnat du monde des matheux de l’impôt. Oui, mes amis, vous avez bien compris. Les obstinés fiscalistes gaulois balancent la sauce en montant sur la deuxième marche du podium des pays les plus taxés. La France, le danseur étoile du pas de deux fiscal, a adopté un système dimpôt progressif grimpant sur cinq tranches, avec une dernière marche atteignant des sommets hémorragiques de 45 % sur les revenus annuels. Imaginez ça, pour chaque centime de plus que vous gagnez, l’Etat met la main dans le pot de confiture pour plus de la moitié. Pas de pause non plus au moment du shopping, une jolie TVA de 20 % se pointe manière “Cerise sur le gâteau”, ce qui laisse à ces pauvres contribuables une pression suffocante de quasiment 45,3 %. Et oui, voilà ce que ça fait d’avoir du style à la française.
1. Le Royaume enchanteur du Danemark
Perché en haut de l’échelle, le Danemark brille comme le champion toute catégorie de la fiscalité mondiale, un royaume où le tribut s’élève en moyenne à 49,5% du PIB! Sacré exploit, n’est-ce pas? Vous apercevez le spectre du fisc pointer son nez entre 41 et 60% des revenus individuels. Mais, ne vous y trompez pas, ce n’est pas la ruée vers le gouffre fiscal ici. Car oui, ce pays scandinave, malgré sa taxation élévée, respire une vitalité économique impressionnante.
