Tu sais, dans la vie, il y a des boulots difficiles, ces jobs où personne ne souhaite se retrouver, mais qui pourtant font rentrer des pépètes ! Allez, on lève le voile sur ces jobs tant redoutés qui pourtant, offrent une belle carotte financière!
Dans le coeur palpitant de la fabrication et l’analyse des festins félins et canins
Vous voilà plongé dans l’univers guindé des pontes de l’industrie de la nourriture pour les animaux de compagnie, autrement dit, ces maestros de la croquette pour nos chers compagnons à quatre pattes. Le job a de quoi faire froncer le nez parfois, certainement quand on tombe sur un pauvre animal ayant rendu l’âme, destiné à devenir ingrédient dans un lot de croquettes pour gourmands chiens ou chats. Et oui, l’odeur a aussi quelque chose de ‘particulier’… Non, pas exactement l’expérience olfactive du siècle. Bref, le tableau peut sembler un chouïa effrayant, mais attendez une min’, accrochez-vous, il y a des compensations plutôt séduisantes. Tout particulièrement un montant alléchant sur la fiche de paie.
Quand on tourne le regard vers ce héros méconnu, l’expert en analyse des repas animaliers. Il touche le pactole pour se faire l’heureux dégustateur des croquettes ou des pâtinées à l’usage des félins raffinés et des toutous festifs. Le job du bonhomme, c’est de prendre une bouchée de ces délices, puis – et là est l’astuce – de les recracher. Yup, absolument tous les pros ne rêvent pas de ce job. Néanmoins, le salaire fait largement passer la pilule et donne du baume au coeur. Figurez-vous, ça peut grimper jusqu’à 4000 pattates par mois , mes amis! Bon, tout newbie commence plus bas sur l’échelon et ceux qui sont aguerris, dont le palais a survécu à des rations de combat, peuvent gagner une prime plus grassouillette.
Les corbeaux blancs de la cité: Éboueurs et agents d’entretien
Imaginez un instant les égouts se bouchant et débordant jour après jour, les parcs devenant des décharges à ciel ouvert, les rues jonchées de détritus… Vous visualisez? Ben, c’est ce que vous obtiendriez si vous enlevez les agents d’entretien et les camionneurs de la propreté , plus communément appelés éboueurs, de l’équation de nos sociétés modernes. Ils jouent un rôle crucial pour éviter le chaos, et pourtant, qui veut réellement se salir les mains ?
Une profession essentielle, souvent stéréotypée comme dégradante et sale. Penser à ces pauvres âmes ramassant des déchets peut inciter un certain dégoût, mais ne vous y trompez pas ! Ce sont de véritables jobs en or. Et oui, être un as de l’aspirateur ou un maître du balai pourrait bien remplir les poches plus que vous ne le pensez.
Prenez par exemple un agent d’entretien; glissez-vous dans ses gants de caoutchouc pour un instant. Vous pourriez facilement empocher jusqu’à 2000 euros par mois, ça fait rêver, non? Et ce n’est pas tout! Jouez dans la cour des éboueurs et vous pourriez gratter en moyenne la même somme, soit 2000 euros par mois. Les débutants commencent souvent avec un joli salaire de 1600 euros mensuels et peuvent finir avec un sacré pactole de 2500 euros grâce aux différents bonus et primes alloués au fil des ans.
Alors, qui a dit que le travail de corbeau blanc n’était pas attractif?
Testeur de médicaments: Un boulot hautement rémunéré mais à hauts risques.
Sais-tu qu’il existe un boulot hautement rémunéré mais qui risque de te coûter ta santé? C’est le métier de testeur de médicaments . Quel boulot, hein? Le coeur du métier? Tester l’efficacité et les effets secondaires potentiels d’un pilule qui n’a pas encore débarqué en pharmacie. Mais ne t’inquiète pas, le processus d’essais est bien encadré par deux grands copains : l’ANSM et la CPP .
Alors, la grande question, c’est : pourquoi se lancer dans ce métier? Ben, l’objectif principal est d’aider à définir les dosages de la future pilule, d’analyser comment elle se comportera selon divers antécédents médicaux, etc. Bravoure et altruisme, c’est pas pour tout le monde, hein?
Et le salaire? Mec! Pour l’aventure clinique, tu peux gagner jusqu’à 100 euros à 4000 euros selon le type du médicament à tester. Risqué mais pas mal payé. À toi de peser le pour et le contre, mate!
Exterminateur : Un boulot qui rapporte gros mais demeure un mystère pour beaucoup
Les hommes en blanc, les chasseurs de rats, les dénicheurs de nuisibles, mieux connus sous le nom d’exterminateurs , sont souvent victimes d’une réputation bien injuste. Pourtant, sans ces braves soldats dépeçant l’enfer des infestations, imaginez un instant le cauchemar que seraient nos vies, envahies par toute sorte de rampants agaçants. Oui, oui, il faut l’admettre, être exterminateur, c’est pas de la tarte! Entre les risques de manipuler des produits pas très « green » et la tâche parfois rebutante de faire la chasse aux indésirables, c’est certain que le métier réserve son lot de frissons. Mais vous savez quoi? Il faut croire que le jeu en vaut largement la chandelle, puisqu’on parle ici d’un salaire pouvant se balader, si vous me passez l’expression, entre 2000 et 7000 euros . Et cette coquette petite somme, elle fluctue en fonction de quoi? Eh bien, tout simplement du gros du travail à abattre
Dans les coulisses de la Mort : l’argent se cache sous le cercueil
Avouons-le sans gêne, bosser dans les pompes funèbres, c’est pas la crème de la crème en termes de glamour. On ne recrute pas là-bas parce que le nombre des morts a explosé, mais parce que le boulot de fossoyeur est pas la tasse de thé de tout le monde. Par contre, si on a le coeur bien accroché et un amour pour le plein-temps, ce qui se cache dans la poche est plutôt génial. Allez, sans lancer de chiffres dans la brume , pour un bleu, c’est autour de 1500 balles tout bête, et celui qui tient la route se retrouve à amasser plus de 4000 beaux euros .
Le tableau d’honneur des emplois sombres, mais grassement rémunérés
Faire le tour du monde en pyjama, qui n’a pas fantasmé de ça, hein ? Travailler, mais assis tranquillement : pas sale, pas éreintant, pas dangereux. Oh là là, mais le confort ce serait ! Pourtant, le salaire ne tombe pas du ciel, encore moins nos jolis pyjamas. Oui, dame ! Et certains boulots, aussi mystérieux qu’ingrats, prennent le dessus pour vous remplir copieusement les poches. Incroyable, mais pourtant bien vrai les amis ! Voici le tableau d’honneur des travailleurs de l’ombre, ces professionnels aux boulots pour le moins inattendus, mais qui ne renonceraient à leurs commissions dodues pour rien au monde. Prêt pour l’aventure ? C’est parti !
En plein dans le mille : le nettoyeur de scènes de crime . Pas un job pour les âmes sensibles, mais qui rapporte 30 blanches par heure – eh oui, obscur n’est pas forcément ingrat !
Chapeau bas devant le médecin légiste . Avec un salaire moyen de 7000€ par mois, on peut sûrement supporter les quelques frissons que le métier inspire.
Les queues de Mickey ? Un ‘tit dentiste qui, entre deux râles et un plombage, empoche sans broncher ses 7000 balles mensuelles.
Chacun son truc, disait l’autre. Le podologue lui, tripote des pieds toute la journée, mais rigole bien quand il touche ses 3000 deniers à la fin du mois.
Imaginez le gars, tout là-haut sur sa grue , perdu au milieu du ciel. Sauf qu’au bout du compte, bibi rentre à la maison avec 2200€ bien gras dans la poche.
Ni Dalton, ni Lucky Luke, mais un nettoyeur d’écrans de cinéma . Au ciné’ ce n’est pas toujours la dolce vita, mais avec un revenu moyen de 3000€, on y réfléchit à deux fois, non ?
Là, on grimpe au sommet avec le boss des ressources humaines . À 6000€ en moyenne par mois entre recrutements et paperasses, on tire son chapeau bien bas.
Ah, le brave ramoneur ! Il sue à grosses gouttes à grimper dans les cheminées, mais il ne rechigne pas devant son salaire moyen de 2000€.
Qui veut jouer au plombier des profondeurs ? L’ agent d’entretien / de maintenance des égouts s’y risque tous les jours et pour 2500 ducats mensuels, il s’en sort plutôt bien !
Pour finir, le rude technicien pétrolier . Avec la campagne de sensibilisation contre les énergies fossiles, son job n’est pas de tout repos. Mais à 2500€ par mois en moyenne, ça applique un joli baume au cœur.
Alors, toujours partant pour rester en pyjama toute la journée ? Ah, la réalité est tenace, elle vous rattrape toujours… surtout quand il s’agit de billets doux dans le portefeuille !